La double mort de Linda Patricia Macdonald Edition : France Loisirs ISBN : 9782298087635 |
4ème de couverture
"Wayland, petite station balnéaire sans histoire du Massachusetts.Karen et Greg Newhall y vivent une existence paisible avec Jenny, leur fille adoptive.
Jusqu'à ce jour de fête des mères où ils reçoivent une visite qui va briser leur bonheur. Après quatorze ans de silence, Linda Emery veut revoir Jenny. Devant ses parents adoptifs, l'adolescente accueille sa mère à bras ouverts. Mais son bonheur sera de courte durée. Linda Emery est retrouvée sauvagement assassinée. Et pour la police, me premier suspect n'est autre que Greg Newhall ..."
Jusqu'à ce jour de fête des mères où ils reçoivent une visite qui va briser leur bonheur. Après quatorze ans de silence, Linda Emery veut revoir Jenny. Devant ses parents adoptifs, l'adolescente accueille sa mère à bras ouverts. Mais son bonheur sera de courte durée. Linda Emery est retrouvée sauvagement assassinée. Et pour la police, me premier suspect n'est autre que Greg Newhall ..."
Je ne sais pas quoi penser de ce livre. Autant le début m'a énormément énervé, autant la fin a été un peu trop rapide, autant c'est une bonne histoire, qui se lit vite. Vraiment vite !
La plume de l'autrice est fluide, le vocabulaire n'est pas compliqué et les chapitres ne sont pas trop long. L'enchaînement des événements est claire. Nos interrogations du début trouvent leur réponse à la fin.
L'histoire était intéressante, passionnante même ! Comme je l'ai déjà dit, je l'ai fini rapidement. Malheureusement, je n'ai pas forcement accepté le comportement des personnages. Je les trouve inapproprié et illogique par rapport aux événements. Pour ne donner que deux exemples, Linda Emery, la mère biologique de Jenny et la victime, débarque sans prévenir dans la vie de sa fille, sans l'autorisation des Newhall. Linda va même jusqu'à se qualifier comme étant la mère de Jenny, tandis que Karen n'est que celle qui s'en occupe actuellement ... De même, il y a une journaliste qui n'a aucun scrupule à harceler les gens, même pendant des moments de grande tristesse et qui défend son comportement en disant que c'est le boulot de journaliste qui veut ça ...
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